La défense de l'amendement ne correspond pas au texte !
Il a raison.
Proposez plutôt de lutter contre les loups si vous voulez vraiment aider les agriculteurs !
Et les aides régionales, en Nouvelle-Aquitaine par exemple ?
Il vaudrait mieux écrire l'avenir !
Vous êtes hors sol !
Sur le terrain, vous êtes les premiers adversaires des agriculteurs !
Vous êtes les fossoyeurs de l'agriculture !
Il n'y en a pas qu'une seule !
Pour que les agriculteurs s'installent, il faut que ce soit rentable, et pour cela, il faut que les agriculteurs soient rémunérés dignement. C'est là la vraie question !
Vous avez surtout rajouté des taxes !
Il faut la fiscalité qui va avec !
En région Auvergne-Rhône-Alpes, où la dotation est la plus élevée de France ?
Et à faible rotation du capital !
Merci de leur rendre hommage !
Cela s'appelle enfoncer des portes ouvertes !
C'est vrai aussi pour les commerçants, les artisans ou les travailleurs agricoles !
Et le loup est incompatible avec le pastoralisme !
Monsieur le ministre de l'agriculture et de la souveraineté alimentaire de la France, je vous le dis et vous le redis : le compte n'y est pas. Qu'ont exprimé les cris de désespoir des agriculteurs au printemps ? Que ces derniers voulaient vivre dignement de leur métier. Il n'est, malheureusement, pas fait suffisamment référence, dans le texte, à la question du revenu. Il faudrait la graver dans le marbre de la loi, à plusieurs reprises si nécessaire, car c'est une revendication juste et légitime. Dans une chaîne agroalimentaire, au sens large, l'agriculteur est celui qui investit le plus et supporte la rotation du capital la plus lente ; c'est celui qui court le ...
C'est bien le problème !
Mais où s'installeront-ils ?
Et où s'installeront-ils ?
Monsieur le ministre, je regrette, mais le compte n'y est pas ! Vous évoquez, tout au long de nos débats, un arrêté de 2011 mais, depuis cette date, la démographie vétérinaire est en berne. Les statistiques récentes indiquent, certes, une augmentation du nombre d'inscriptions dans les études vétérinaires, mais c'est un trompe-l'œil. En effet, le métier s'est fortement urbanisé : les vétérinaires s'installent surtout en ville, et c'est en zone rurale, lieu d'élevage bovin, ovin et caprin, que nous avons des problèmes. La pyramide des âges des vétérinaires installés dans les zones de montagne et rurales risque, à moyen voire à court terme, de remettre en ...
La polémique, c'est votre spécialité !
Il vise à graver dans le marbre de la loi que, comme pour tous les diplômes élaborés au niveau national, les représentants de la profession agricole doivent pouvoir concourir, dans le cadre des instances consultatives au sein desquelles ils siègent, à la définition du référentiel du diplôme que vous souhaitez créer.
C'est regrettable !
Pour compléter les propos de mes collègues, je rappelle que plus de la moitié des élèves de l'enseignement agricole sont scolarisés dans le privé, le plus souvent d'ailleurs dans le secteur associatif sous contrat avec l'État et la région, à l'instar des maisons familiales rurales (MFR) qui font un travail formidable, notamment chez moi en Ardèche, à Villeneuve-de-Berg.
J'insisterai sur la nécessité d'associer les organisations professionnelles d'employeurs représentatives à l'élaboration du diplôme de « bachelor agro », dans un dialogue permanent entre formation et métiers – ces métiers, nous le savons, sont au cœur de toutes les transitions, qu'elles soient économiques, écologiques, climatiques ou sanitaires.
Il faut aussi dédoubler les classes en milieu rural !
Il serait bon de penser également aux territoires ruraux !
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C'est laid !
Et le loup est incompatible avec le pastoralisme !
Les établissements d'enseignement agricole – qu'ils soient publics ou privés, du lycée agricole d'Aubenas à la maison familiale et rurale (MFR) de Villeneuve-de-Berg – dispensent des formations très diverses. Les compétences que les jeunes y acquièrent sont variées et les métiers auxquels ils se destinent sont différents. Les établissements forment certes au métier d'agriculteur – c'est le renouvellement des générations et l'installation de jeunes agriculteurs qui se jouent là –, mais aussi à celui de salarié agricole, aux métiers du vivant et de la ruralité dans toutes ses dimensions économiques et sociales. Il faut donc graver dans le marbre de la ...
Je l'espérais !
J'insiste à mon tour sur la nécessité, pour nos concitoyens et les jeunes générations, de mieux appréhender les questions d'économie, de gestion de l'entreprise agricole. Nous cherchons bien, par ce projet de loi, à favoriser la création d'entreprise : la transmission d'une entreprise agricole et l'installation sont des projets économiques. Il est important que ce sujet soit au cœur de nos débats. Cependant, le véhicule législatif n'est peut-être pas le plus approprié – je laisse Mme la rapporteure et M. le ministre en juger.
La propriété privée, ce n'est pas la voie publique !
Qu'il s'agisse du lycée agricole Olivier-de-Serres à Aubenas ou de la maison familiale rurale (MFR) de Villeneuve de Berg, l'avenir des établissements d'enseignement agricole, publics ou privés, dépend d'un partenariat fort avec l'ensemble des métiers agricoles et du vivant. Cet amendement balaie de façon très large les métiers de l'agriculture, de l'agroalimentaire, du paysage, de la forêt, de l'eau, de l'aquaculture et de la pêche. De la production agricole à la sélection des plants, de la gestion de l'eau au déploiement de nouvelles technologies et de nouveaux agroéquipements, il est nécessaire d'accompagner l'agriculture d'aujourd'hui et de demain afin de ...
Ils sont hors sujet !
Eh oui, c'est du bon sens paysan ! C'est une question de survie.
Il faut soutenir nos manades !
Militons pour la liberté alimentaire !
Par cet amendement de notre collègue Pierre Cordier, nous souhaitons alerter à la fois la représentation nationale et le Gouvernement sur les dangers que représente la viande cellulaire, c'est-à-dire la viande de synthèse, pour les éleveurs, pour les consommateurs et pour les écosystèmes. Plusieurs études, émanant notamment de chercheurs de l'université de Californie, ont quantifié les conséquences extrêmement polluantes de ce type de production, et un rapport de la mission d'information du Sénat consacrée à ce sujet, rendu le 5 avril dernier, a développé des arguments incitant à la plus grande prudence. C'est pourquoi nous demandons que la viande de ...
« Que la montagne est belle ! », comme chantait Jean Ferrat !
Et à la défense des forêts contre l'incendie !